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FAQ sur les pompes funèbres et les obsèques dans le canton de Neuchâtel

Tombe et Cimetière Neuchâtel

Pourquoi on dit pompes funèbres ?

À l’époque de la Rome Antique, ce terme faisait référence aux cortèges populaires qui précédaient les grandes manifestations publiques. Parmi toutes ces cérémonies, la « pompa funebris » désignait les somptueuses processions réalisées lors de décès de personnalités importantes.

Quel est le travail des pompes funèbres ?

Définir l’organisation des funérailles avec les familles. Proposer des services complémentaires et des produits, dans le respect de la déontologie : choix d’un thanatopracteur, choix du cercueil, des fleurs, du lieu de cérémonie, des étapes de la cérémonie, des textes à lire, des intervenants.

Comment s’appellent les gens qui travaillent dans les pompes funèbres ?

Les personnes qui travaillent dans les pompes funèbres sont appelées des professionnels des pompes funèbres ou des employés des pompes funèbres.

Quelle formation pour devenir pompes funèbres en Suisse?

En Suisse, il existe un brevet fédéral d’entrepreneur ou d’entrepreneuse en pompes funèbres, mais il se focalise sur la gestion d’entreprise essentiellement et ne possède aucun caractère obligatoire. Dans les faits, presque n’importe qui, avec un casier judiciaire vierge, peut devenir croque-mort.

Qui paye les pompes funèbres ?

Les frais d’obsèques sont répartis entre les héritiers, en proportion de la valeur de ce que chacun recueille dans la succession. Vous devez vous mettre d’accord entre vous ou devant le notaire, si son recours est obligatoire.

Quel est le rôle du Croque-mort ?

Le terme « croque-mort » est un surnom donné aux employés des pompes funèbres chargés de la mise en bière et du transport des corps vers le cimetière.

Comment s’appelle la personne qui s’occupe des morts ?

La personne qui s’occupe des morts s’appelle un thanatopracteur ou une thanatractrice. Ils interviennent sur le corps des défunts, à la demande de la famille, pour une réalisation de soins qui rendent au mort un aspect présentable.

Comment se passe la préparation d’un mort ?

Lors de la toilette mortuaire, le défunt est mis à nu et lavé soigneusement, mais délicatement, avec de l’eau savonneuse. Ses yeux seront fermés, le nez, la bouche ainsi que tous les orifices seront bouchés avec du coton, un change (couche) est aussi mis en place afin d’éviter tout désagrément.

Comment devenir croque-mort en Suisse ?

En Suisse, il existe un brevet fédéral d’entrepreneur ou d’entrepreneuse en pompes funèbres.

Comment s’habiller pour aller à un enterrement ?

Portez du noir, du gris ou du bleu foncé si possible, mais la plupart des funérailles contemporaines permettent une plus large gamme de couleurs, à condition qu’elle ne soit pas trop ostentatoire. Pour les hommes, ne portez pas de shorts ou de jeans. Tenez-vous plutôt à un pantalon léger ou à un pantalon de ville.

Pourquoi la mise en bière ? D’où vient l’expression « mise en bière » ?

‘Une béra’ était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu’on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, ‘béra’ est devenu ‘bière’. On était donc ‘mis en bière.’

Quelle différence entre obsèques et funérailles ?

La différence entre funérailles et obsèques ? Les funérailles désignent des obsèques grandioses, organisées en grande pompe et répondant à un décorum particulier. On parle souvent de funérailles royales, nationales ou militaires, mais elles peuvent aussi être organisées pour une personnalité publique.

Comment rendre un bel hommage au défunt ?

Afin de rendre un dernier hommage au défunt, vous pouvez organiser une cérémonie religieuse ou civile, une décision qui doit être prise dans le respect des volontés du défunt. Ce choix-là s’inscrit déjà dans la préservation du souvenir de l’autre et lui rend hommage.

Qu’est-ce qu’un cercueil ?

Le cercueil est un récipient funéraire en forme de coffre, le plus souvent en bois, dans lequel un défunt est placé par les pompes funèbres pour être inhumé dans une tombe. À l’origine, on appelait un cercueil une « bière », ce qui explique l’origine de l’expression « mise en bière » qui consiste à placer un défunt dans un cercueil. De nos jours, il est interdit dans la plupart des pays de se faire inhumer sans cercueil, même si tel est le souhait du défunt. L’alternative demeure la crémation et la dispersion des cendres dans la nature. La Suisse n’impose pas une épaisseur minimale de cercueil, mais même en cas de crémation, il reste obligatoire.

Qui peut porter le cercueil du défunt durant les obsèques ?

Le portage du cercueil par les pompes funèbres est un moment hautement symbolique et marquant pour les proches qui assistent aux obsèques. Faisant partie des rites les plus plébiscités par les familles, il joue un rôle essentiel dans le déroulement des funérailles puisque lors d’un enterrement, il guide le cortège funéraire jusqu’à la tombe du défunt. Dans le cadre d’une crémation avec cérémonie, le portage de la bière a aussi son importance. C’est une façon pour les proches réunis de se recueillir durant les obsèques et de vivre plus sereinement le décès. Mais porter un cercueil demande de la discipline, une véritable organisation et surtout le feu vert du maître de cerémonie. Voici quelques indications sur qui peut porter le cercueil du défunt lors des obsèques :

  1. La famille proche :
    En général, les membres de la famille proche du défunt, tels que les conjoints, les enfants, les parents, les frères et sœurs, sont souvent choisis pour porter le cercueil. C’est un geste symbolique fort qui témoigne de leur lien étroit avec le défunt.
  2. Les amis proches :
    Des amis proches du défunt peuvent également être invités à porter le cercueil. Ce sont souvent des personnes qui ont partagé une relation étroite et significative avec le défunt.
  3. Les membres de la famille élargie :
    Dans certaines cultures ou familles, il est courant d’inclure des membres de la famille élargie, tels que les cousins, les oncles, les tantes, les neveux, les nièces, pour participer au portage du cercueil.
  4. Les porteurs professionnels :
    Dans certains cas, les pompes funèbres peuvent fournir des porteurs professionnels pour assurer le portage du cercueil. Cela peut être nécessaire si la famille ne souhaite pas ou n’est pas en mesure de porter le cercueil elle-même.

Il est important de noter que les traditions et les pratiques peuvent varier en fonction des cultures, des croyances religieuses et des préférences familiales. Il est recommandé de consulter les responsables des obsèques ou de discuter avec la famille pour savoir qui sera chargé de porter le cercueil lors des funérailles.

Il convient également de mentionner que le portage du cercueil est un acte physique exigeant et émotionnellement chargé. Il est essentiel de prendre en compte la santé et la capacité physique des personnes impliquées pour éviter tout risque ou préjudice.

En cas de doute ou de question spécifique sur les protocoles funéraires, il est préférable de consulter les professionnels des pompes funèbres ou les organisateurs des obsèques qui pourront fournir des informations et des conseils adaptés à la situation.

Inhumation : qui décide du déroulement des obsèques ? (prix, marche à suivre)

À la suite d’un décès, il incombe aux proches de contacter dans le meilleur délai les pompes funèbres pour décider de l’inhumation ou de la crémation du défunt. Qui que soit la personne chargée des modalités des funérailles, elle doit garder à l’esprit que les obsèques doivent toujours veiller à répondre aux dernières volontés du défunt. Une tâche parfois complexe qui implique souvent des problèmes et des décisions difficiles tant pour les proches que pour la famille du défunt. Les désaccords sont monnaie courante à cause d’un point de vue divergeant sur la mort selon les valeurs, croyances et convictions de chacun.

Qui s’occupe de la crémation ?

Aujourd’hui, la crémation représente près de 90 % des funérailles en Suisse, une tendance palpable tous cantons confondus. Désormais, presque tous les cimetières disposent d’un columbarium et d’un jardin du souvenir pour le dépôt des cendres, poussant de plus en plus de personnes à choisir ce type de services auprès des pompes funèbres.

Qui est responsable de la chambre mortuaire ?

Après un décès survenu à domicile ou dans tout autre lieu, le corps de la personne défunte est transféré vers une chambre mortuaire (morgue) ou vers la chambre funéraire d’une pompes funèbres en vue de la préparation des obsèques. S’il est assez difficile de pouvoir assister à ce qui se passe dans la partie technique d’une chambre funéraire, un endroit réservé au personnel habilité, il faut savoir que les défunts y sont entre de bonnes mains. En effet, les proches décédés y bénéficient de toilettes mortuaires, de soins de conservation, puis ils sont vêtus, coiffés et maquillés avant d’être mis en bière et rejoindre le lieu de la cérémonie.

Quelles sont les démarches à faire pour une incinération ?

Après le décès d’un proche, la famille a la lourde tâche d’accomplir un ensemble de démarches pour veiller à l’organisation des obsèques. L’une des premières étapes pour planifier une incinération (lorsqu’il s’agit de la technique funéraire, mieux vaut parler de crémation) est de contacter une entreprise de pompes funèbres. Celle-ci sera chargée d’obtenir un acte de décès, de préparer le déroulement de la cérémonie d’hommage, de conseiller la famille sur le choix des fournitures funéraires, de faire le lien avec un crématorium de la région et plus généralement de faire en sorte d’exécuter tout souhait que le défunt aurait émis de son vivant.

Organiser les funérailles

En cas de décès, la famille se doit d’organiser les funérailles du proche en prenant soin de respecter ses dernières volontés. Avant d’entreprendre les démarches pour préparer des funérailles, il est important de vérifier si le défunt avait souscrit à un contrat de prévoyance, auquel cas les proches sont déchargés de l’aspect pécuniaire des obsèques et généralement de la prise de décision vis-à-vis du type de sépulture puisque les frais sont déjà payés.

Il faut également rechercher l’existence d’un dépôt de volonté funéraire de la personne décédée. Ce document qui peut être rédigé sur papier libre ou à grâce à un modèle permet de consigner ses volontés quant à la planification des funérailles. Néanmoins, un dépôt de volonté funéraire n’équivaut ni à un contrat de prévoyance ni à une assurance funéraire, ce qui signifie que les frais inhérents aux obsèques restent à charge pour la famille.

La marche à suivre en cas de décès

Dès lors qu’un décès survient, il s’agit de faire face au deuil, mais aussi de compléter les formalités administratives et démarcher une entreprise de pompes funèbres afin de préparer les obsèques si le défunt n’a souscrit à aucun contrat de prévoyance. En Suisse, les formalités en cas de décès peuvent varier d’un canton à un autre, mais dans les grandes lignes, le processus reste le même.

Comment ça se passe à la morgue ?

La morgue, appelée aussi chambre mortuaire ou chambre funéraire (funérarium) lorsqu’elle se situe en dehors des établissements de santé, est une structure destinée à accueillir les corps des défunts après leur décès. Elle est aménagée en deux espaces distincts. Dans la première pièce, les corps sont conservés dans un caisson réfrigérant conçu pour ralentir le processus de putréfaction. La seconde salle de la morgue est prévue pour l’accueil des familles endeuillées. Une fois la mort constatée par un médecin, lorsqu’un décès survient en EMS, à l’hôpital ou dans une clinique, le corps du défunt est transféré à la morgue de l’établissement avant l’organisation des obsèques. Dans les autres cas, le corps est directement transporté dans une chambre funéraire tenue par les pompes funèbres.

Les prestations d’une pompes funèbres

Face à un décès, il est important de se sentir soutenu et entouré par des professionnels. En ce sens, les prestations des pompes funèbres sont étudiées pour répondre à la bonne exécution des formalités administratives et l’organisation des obsèques religieuses ou laïques selon les valeurs du défunt. Comme le domaine funéraire peut paraître obscur, il est nécessaire de clarifier la nature des prestations obligatoires et facultatives des pompes funèbres pour préparer des funérailles en toute sérénité.

Les différentes urnes funéraires

À la suite d’une crémation, les cendres du défunt sont placées dans une urne funéraire et remises à la famille dans un délai de 48 heures. L’urne funéraire n’est pas tenue de répondre à des normes, si ce n’est d’être de contenance suffisante pour accueillir les cendres et d’être sélectionnée à l’image du défunt, si celui-ci n’a pas souscrit à un contrat de prévoyance.

Certaines familles font le choix d’opter pour un modèle personnalisé des pompes funèbres, d’autres fabriquent le contenant funéraire eux-mêmes en hommage à leur proche décédé. C’est pourquoi il existe des urnes funéraires de différents matériaux et formes, et il convient de la choisir judicieusement selon sa destination.

Qu’est-ce qu’un avis de décès ?

Un avis de décès ou un avis mortuaire est un court texte publié dans la presse écrite ou numérique destiné à annoncer le décès d’un proche. Si selon la législation funéraire, il n’est pas obligatoire, il reste ancré dans la tradition et son emploi est courant. Contrairement à un faire-part dont la finalité est de prévenir la famille et les proches en annonçant la date et le lieu des obsèques, un avis mortuaire a une portée publique. La plupart du temps, ces formalités sont proposées dans l’éventail des prestations des pompes funèbres.

Comment se prépare un enterrement ?

À l’instar d’une crémation, les pompes funèbres peuvent préparer un enterrement afin de répondre aux dernières volontés d’un défunt. Un enterrement peut aussi être planifié de son vivant dans le cadre d’une prévoyance funéraire.

Enterrement ou obsèques ?

En Suisse, nous utilisons couramment le terme « enterrement » pour désigner les obsèques. Cependant, ce terme est plus lié au rite funéraire et est considéré comme une simplification du terme « inhumation », qui fait référence à l’acte de mettre le défunt en terre.

Le rite funéraire

Les deux pratiques les plus courantes lors de l’organisation des obsèques sont l’inhumation et la crémation. Ces dernières années, de nouvelles méthodes plus innovantes et écologiques ont émergé, bien que leur adoption reste limitée par les entreprises de pompes funèbres et les acteurs du domaine funéraire.

L’humusation

Depuis le 1er mai 2020, l’État de Washington permet l’humusation, une pratique consistant à transformer le corps du défunt en compost. Cette méthode n’est pas encore réalisable en Suisse.

La promession

Ce procédé funéraire, inventé en Suède en 1999, est à la fois écologique et scientifique. Le corps du défunt est plongé dans de l’azote liquide, ce qui entraîne la fragmentation des parties corporelles et l’affaiblissement des os. Cette méthode funéraire ne produit aucune particule de CO2, de vapeur ou de fumée. La poudre résultant du corps du défunt devient biodégradable. Elle est placée dans une urne contenant la graine d’un arbre, par exemple, puis est enterrée, donnant ainsi naissance à une nouvelle vie végétale. C’est un magnifique symbole pour les proches du défunt.

L’aquamation

Cette méthode plus douce transforme le défunt en engrais. Le corps est plongé dans de l’eau chauffée à 93°C, accompagnée de produits chimiques alcalins tels que des carbonates et des hydroxydes, qui dissolvent les tissus de la dépouille. Après quelques heures, seuls les os subsistent, qui sont ensuite réduits en poudre et placés dans une urne remise à la famille. L’eau récupérée à l’issue de cette méthode est utilisée comme engrais.

Quels sont les différents lieux possibles pour le repos du corps ?

Il existe plusieurs lieux possibles pour le repos du corps lors des obsèques. En discutant avec une entreprise de pompes funèbres, il est possible de respecter les dernières volontés du défunt. Les dispositions peuvent varier légèrement en fonction des croyances religieuses ou de l’athéisme.

  • Dans une chapelle paroissiale ou communale :
    Les cérémonies laïques ou religieuses peuvent être organisées dans une chapelle appartenant à la paroisse ou à la commune.

  • Dans une crypte privée ou une chapelle privée :
    Les entreprises de pompes funèbres proposent la location de cryptes privées ou de chapelles privées pour les obsèques, qu’elles soient laïques ou religieuses.

  • Dans un lieu de culte religieux :
    Selon les croyances religieuses du défunt, les obsèques peuvent avoir lieu dans une église, une mosquée, une synagogue, un temple ou tout autre lieu de culte approprié.

  • Dans un crématorium :
    Si le choix de la crémation a été fait, les obsèques peuvent se dérouler au crématorium. Certains crématoriums disposent de salles de cérémonie où les proches peuvent se rassembler pour rendre un dernier hommage au défunt avant la crémation.

  • Au cimetière :
    Les obsèques peuvent également avoir lieu directement au cimetière, dans une salle spécialement aménagée à cet effet. Cela peut être suivi d’une inhumation ou d’une mise en columbarium pour les cendres après la crémation.

  • Dans un lieu de commémoration :
    Il est possible d’organiser des obsèques dans des lieux de commémoration tels que des jardins du souvenir ou des espaces dédiés à la mémoire des défunts. Ces lieux offrent un environnement paisible pour rendre hommage au défunt.

  • Dans un lieu symbolique ou choisi par le défunt :
    Parfois, les obsèques peuvent avoir lieu dans un lieu symbolique ou choisi spécifiquement par le défunt de son vivant, comme un endroit qui lui était cher ou significatif pour lui.

  • À domicile :
    Certaines familles choisissent d’organiser les obsèques à domicile, surtout lorsqu’il s’agit de cérémonies plus intimes et familiales. Dans ce cas, la maison du défunt ou celle d’un proche peut être utilisée comme lieu de rassemblement pour la cérémonie funéraire. Cela offre un environnement familier et confortable pour rendre hommage au défunt.

  • Dans une salle de réception :
    Les salles de réception dédiées aux funérailles sont de plus en plus courantes. Ces espaces offrent un cadre neutre où les proches peuvent se rassembler pour honorer la mémoire du défunt. Ces salles sont souvent équipées de commodités telles que des systèmes de sonorisation, des écrans pour diffuser des diaporamas ou des vidéos commémoratives, ainsi que des espaces pour le repas ou le partage de souvenirs.

  • En plein air :
    Certaines personnes choisissent de tenir les obsèques en plein air, dans des parcs, des jardins, ou des lieux naturels qui étaient significatifs pour le défunt. Cela permet de créer une ambiance plus informelle et de profiter de la beauté de la nature tout en rendant hommage au défunt.

Il est important de noter que quel que soit le lieu choisi, il est essentiel de respecter les réglementations locales, les restrictions liées aux espaces publics et les pratiques culturelles et religieuses appropriées. Il est recommandé de travailler en étroite collaboration avec des professionnels des services funéraires pour s’assurer que les obsèques se déroulent de manière respectueuse et conforme aux souhaits du défunt et de sa famille.

Borioli Pompes Funèbres

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